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jeudi 28 avril 2011
Où vais-je, d'où viens-je, dans quelle étagère?
Ce billet aurait aussi pu s'intituler « A grandes questions existentielles... réponses à la con ».
Car oui, on en a tous des grandes questions existentielles, du type :
« Où vont les chaussettes orphelines bouffées par la machine à laver? » ou « Pourquoi est ce que j'ai l'impression d'avoir déjà triplé de volume dès la dernière bouchée de profiteroles engloutie? » (ce qui est physiologiquement impossible, soyons clairs sur la question)
Et ces questions peuvent amener toute une flopée de réponses philosophiques, qui vont chercher du côté des émotions, du ressenti, de la culpabilité, bref de tout ce qui hautement intellectualisé, réfléchi, analysé.
Du style, « la culpabilité ressentie au plus haut degré lors de l'ingestion d'un dessert hautement calorique comme les profiteroles engendre chez le sujet observé une réponse disproportionnée qui peut verser dans les cas les plus graves vers la dysmorphophobie ».
Bon j'avoue que philosopher sur les chaussettes de la machine à laver, c'est plus costaud, mais je suis sûre qu'il y en a qui y arriveraient.
Là nous nous intéresserons aujourd'hui à la grande question existentielle n°36 :
« Pourquoi les bagages du retour de vacances paraissent toujours plus pesants que ceux de l'aller? »
Parce que quitter ce lieu de vacances, et cet état psychologique de sérénité retrouvée, c'est charger la mule, retrouver les problèmes du quotidien, la machine et ses putains de chaussettes orphelines, et ça rien que d'y penser on sent nos épaules se courber sous le poids de nos responsabilités, de nos contraintes, de tout ce que nous faisons non par plaisir mais par obligation.
C'est le symbole de notre asservissement qui alourdit nos valises et notre cœur.
Ben non, ça c'est la réponse philosophie de comptoir, c'est pas la réponse à la con.
La réponse à la con à la question n°36, « Pourquoi est ce que les bagages du retour de vacances paraissent toujours plus pesants que ceux de l'aller? », c'est
Parce que ça :
Donc parce que mathématiquement, x + 8 = x beaucoup plus lourd.
Oui, je vous avais prévenus, la réponse c'est...du lourd.
Ps : je m'excuse platement pour l'internaute qui aurait atterri ici en tapant la requête Google « où vais-je ». Désolée de ne pas pouvoir plus vous aider dans votre quête de paix intérieure. Mais par contre je vous prête des chaussettes si vous voulez. Dépareillées, mais elles tiennent chaud quand même.
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